L’écho marqué par la psyché
Le 3 janvier 2120, la station antarctique demeurait plongée dans un zen oppressant. Les règles de sécurité, fréquemment stricts, avaient existé désactivés pour améliorer l’analyse du silence. Tous les relevés affichaient des niveaux normaux, aucune panne, aucune sorte de mystère sur les circuits, zéro perturbation électromagnétique.